Observatoire des Formations et des Insertions Professionnelles Evaluations
OFIPE
La réussite en master
l'OFIPE vient de mettre en ligne une nouvelle publication :
A la rentrée 2021, 1 196 étudiants se sont inscrits pour la première fois en première année de master disciplinaire à l’Université Gustave Eiffel. A l’issue de l’année, les trois quarts d’entre eux ont accédé à la deuxième année, soit un taux de passage supérieur à celui observé pour l’ensemble des universités (+ 5 points). Ce taux est relativement stable dans le temps, l’année 2020 faisant figure d’exception. En effet, dans le contexte de la crise sanitaire, le réaménagement des conditions d’enseignements et des modalités d’examens a sans doute impacté les parcours de formation.
Nouvelles publications de l'OFIPE
L'OFIPE vient de mettre en ligne trois nouvelles publications :
- Les réorientations affectent significativement la mesure de la réussite
Moins de la moitié des entrants en première année de licence valide la première année et moins du tiers obtient son diplôme sans retard. En effet, les étudiants n'ont pas tous des parcours linéaires et les réorientations sont très fréquentes à l’issue d’une première année et même tout au long du cursus. Par conséquent, les indicateurs traditionnellement mobilisés pour évaluer la réussite mesurent aussi la propension des étudiants à persévérer dans leur cursus. Lire la suite
- La réussite en licence en 2023
A la rentrée universitaire 2021-2022, 1 426 nouveaux bacheliers se sont inscrits en licence. Ces étudiants sont les premiers à être titulaires du nouveau baccalauréat général. L’année suivant leur première année de licence moins de la moitié des étudiants sont passés en deuxième année, soit un taux inférieur à ceux observés les années précédentes. En plus de la mise en place de la réforme du baccalauréat, les bacheliers 2021 ont connu deux années consécutives de lycée avec des conditions d’enseignements et un conseil à l’orientation fortement dégradés par la crise sanitaire. Lire la suite
A la rentrée 2021, 631 nouveaux bacheliers sont entrés en première année de BUT, première promotion à intégrer ce diplôme né de la réforme de la licence professionnelle. A l’issue de l’année, les deux tiers des bacheliers sont passés en deuxième année de BUT. Ainsi, le taux de passage en année supérieure recule par rapport aux promotions précédentes. Et c’est particulièrement le cas pour les bacheliers technologiques qui représentent, depuis la surélévation des quotas, la moitié des inscrits en première année (contre 39 % l’année précédente). Lire la suite
Ces numéros sont accessibles en cliquant sur les différents liens ou sur notre site internet.
Bonne lecture
ofipe@univ-eiffel.fr |
Nouvelles publications
L’OFIPE vient de mettre en ligne quatre nouvelles publications :
OE 2023 - L’insertion des diplômés de master en 2021
Dix-huit mois après leur master obtenu en 2021, neuf diplômés sur dix sont sur le marché de l’emploi. De plus, 8 % sont en études et une minorité est inactive.
Découvrez le détail de cette étude en cliquantICI.
OE 2023 - L’insertion des diplômés de LP en 2021
Dix-huit mois après l'obtention de leur licence professionnelle en 2021, la moitié des diplômés sont présents sur le marché de l’emploi. Le taux de chômage s'élève à 10 % et poursuit sa légère tendance à la hausse observée depuis cinq ans.
Découvrez le détail de cette étude en cliquantICI.
OE 2023 - Parcours d’études après une licence obtenue en 2021
Après l’obtention d’une licence en 2021, les étudiants poursuivent massivement leurs études. Plus de huit licenciés sur dix poursuivent immédiatement après l’obtention de leur diplôme, et 7 % après une interruption d’une année. Finalement 10 % des diplômés arrêtent leurs études au moins deux ans.
Découvrez le détail de cette étude en cliquantICI.
OE 2023 - Parcours d’études après un DUT obtenu en 2021
Immédiatement après l’obtention de leur DUT en 2021, 86 % des étudiants ont poursuivi leur parcours d’études, soit un peu moins que les deux promotions précédentes, rompant ainsi la tendance à la hausse des poursuites d’études immédiates. Cependant, près de la moitié des diplômés ayant interrompu leurs études à la suite du DUT se sont finalement réinscrits dans une formation l’année suivante.
Découvrez le détail de cette étude en cliquantICI.
Vous pouvez retrouver les principaux indicateurs de l'insertion professionnelle et des parcours d'études dans la rubrique chiffres clés du site de l'OFIPE.
ofipe@univ-eiffel.fr |
Stages et stagiaires en 2021-2022
L’OFIPE vient de mettre en ligne une nouvelle publication :
Stages et stagiaires en 2021-2022
En 2021-2022, un peu plus de 3 000 étudiants de l’Université Gustave Eiffel ont réalisé un stage, soit 2 % de plus que l’an dernier.
Ainsi, plus du tiers des étudiants de formation initiale ont eu une expérience professionnelle formatrice.
Découvrez le détail de cette étude en cliquant ICI.
Nous profitons de cette communication pour vous inviter à découvrir les pages de notre nouveau site Internet : https://ofipe.univ-gustave-eiffel.fr/
Très bonne visite,
Nouvelles publications de l'OFIPE
Le nouveau bac général fait son entrée à l’université
Les nouveaux bacheliers représentent les deux tiers des inscrits en première année de licence de l’Université Gustave Eiffel. Parmi eux, la très grande majorité sont titulaires d’un bac général, dans sa nouvelle formule. Les bacheliers ayant choisi une double spécialité scientifique sont moins nombreux que les bacheliers scientifiques de la précédente promotion. En effet, les lycéens sont majoritairement dans des licences prolongeant leurs enseignements de spécialité (EDS) suivis en terminale. Toutefois, quelques licences font exceptions, en particulier celles qui prolongent des EDS peu proposés. Lire la suite
Un tiers des étudiants de formation initiale ont effectué un stage en 2020-2021
En 2020-2021, un tiers des étudiants de formation initiale classique ont réalisé un stage dans le cadre de leurs études. Les étudiants de licence sont moins nombreux dans ce cas, et leurs stages sont concentrés pendant la dernière année de licence. De plus, dans les premières années universitaires, les stages sont moins longs que durant les dernières années d’études. Toutefois, des spécificités apparaissent selon les domaines de formation. Lire la suite
L'OFIPE vient de mettre en ligne trois nouvelles publications :
Parcoursup 2021 : Candidatures et inscriptions en licence
A l’issue de la phase de recueil des vœux d’affectation des futurs étudiants dans l’enseignement supérieur, via la plateforme Parcoursup, les licences de l’Université Gustave Eiffel comptabilisent un peu moins de 20 000 candidatures lors de la phase principale. Certains candidats ayant fait des vœux multiples, le nombre de candidats en licence s’élève à 15 500, soit un peu moins que l’an dernier. Cependant le nombre de candidatures par place est stable par rapport à l’an passé, avec 10 candidatures pour une place.
Un peu moins de la moitié des candidats préparaient un bac dans un lycée de l’académie de Créteil, 15 % le préparaient dans un autre département de la région. Lire la suite
Parcoursup 2021 : Candidatures en BUT
A l’issue de la phase de recueil des vœux d’affectation des futurs étudiants dans l’enseignement supérieur via la plateforme Parcoursup, les BUT (bachelor universitaire de technologie) de l’Université Gustave Eiffel comptabilisent un peu moins de 15 000 candidatures lors de la phase principale. Certains candidats ayant fait des vœux multiples, le nombre de candidats en BUT s’élève à près de 11 500.
A partir de la rentrée 2021, les DUT deviennent BUT; ce nouveau diplôme dure trois ans (contre deux pour les DUT) et permet l’obtention d’un diplôme de niveau licence. Par rapport à l’an dernier, le volume de candidatures pour entrer en première année est sensiblement moindre (environ 1 000 de moins) mais il est incertain d’attribuer la diminution à cette réforme. Lire la suite
Candidatures en première année de master (hors master MEEF)
Les premières années de master disciplinaire (c’est-à-dire hors master conduisant aux métiers de l’enseignement, communément appelés MEEF) de l’Université Gustave Eiffel ont reçu plus de 12 000 candidatures à la session 2021. Le nombre de candidatures est en recul par rapport à la session précédente (- 5 %). Néanmoins, le nombre de candidats (un candidat pouvant postuler dans plusieurs formations), proche des 9 000, connaît une baisse moins nette (- 1 %). Au total, les premières années de master reçoivent plus de 8 candidats par place disponible.
Un peu moins de la moitié des inscrits en licence à l’Université Gustave Eiffel ont postulé en master. Lire la suite
Ces numéros sont accessibles en cliquant sur les différents liens ou sur notre site internet.
l’OFIPE démarre ses enquêtes d’insertion auprès des diplômés
L’OFIPE débute sa campagne d’enquête auprès des diplômés en 2019. A partir du 4 janvier 2022, les anciens étudiants sont sollicités pour répondre à un questionnaire sur leur parcours et leur insertion professionnelle.
Vous allez bientôt être sollicité par l’université pour connaitre votre parcours depuis l’obtention de votre diplôme. Merci de participer à cette enquête.
OFIPE notes et résultats
2021
L'OFIPE vient de mettre en ligne deux nouvelles publications l'une portant sur les parcours d'études après un DUT et l'autre sur les parcours d'études après une licence. Les résultats sont issus de l'exploitation de notre dernière enquête auprès des diplômés en 2017.
Parcours d’études après une licence
Après l’obtention d’une licence, les étudiants poursuivent très majoritairement leurs études. Plus de huit licenciés sur dix poursuivent immédiatement après l’obtention de leur diplôme, et 9 % après une ou deux années d’interruption. Finalement 9 % des diplômés arrêtent leurs études au moins trois ans. Cette proportion varie peu d’une promotion de diplômés à l’autre.
L’insertion des diplômés de licence professionnelle
En décembre 2020, soit trente mois après l’obtention d’une licence professionnelle, 10 % des diplômés sont à la recherche d’un emploi. Le taux de chômage est en hausse par rapport à la promotion précédente (+3 points), et atteint le niveau le plus élevé depuis cinq ans, sans doute un impact de la crise sanitaire. En revanche, le temps d’accès à l’emploi est le plus bas de la période : les diplômés 2018 accèdent à leur premier emploi en 2,4 mois. Et près de huit diplômés sur dix ont été embauchés moins de trois mois après leur sortie de formation. Mais moins de la moitié des diplômés accèdent en six mois ou moins à un emploi à durée indéterminée.
L'insertion des diplômés de master
En décembre 2020, soit trente mois après l’obtention de leur master, 85 % des diplômés occupent un emploi. Le taux de chômage est en hausse (+ 4 points) et atteint son niveau le plus élevé depuis cinq ans. L'évolution des conditions d'emplois est également mitigée : les diplômés occupent des emplois stables et rémunérés dans la même mesure que leurs aînés. Toutefois, leurs emplois sont plus souvent déclassés : ils relèvent un peu moins souvent de la PCS des cadres selon la nomenclature de l'INSEE.
La crise sanitaire a sans doute impacté les situations professionnelles des diplômés de master 2018.
Parcours d'études après un DUT :
Après avoir obtenu leur diplôme à l’Université Gustave Eiffel, les titulaires d’un DUT en 2018 ont très majoritairement poursuivi leur parcours de formation : 89 %, soit 5 points de plus que leurs aînés des promotions antérieures. Parmi ceux qui ont interrompu leurs études, près de six diplômés sur dix se réinscrivent dans une formation. Au total, l’arrêt durable des études (au moins trois ans) ne concerne qu’une minorité (4 % des diplômés). Les diplômés de DUT Génie thermique et énergie d’une part et Techniques de commercialisation d’autre part, interrompent plus fréquemment leurs études.
Ainsi, les diplômés 2018 s’inscrivent plus souvent que leurs aînés dans une formation après l’obtention de leur DUT.
L’Université Gustave Eiffel accueille 19 % des bacheliers seine-et-marnais poursuivant en licence
Après l’obtention de leur bac, les bacheliers seine-et-marnais s’inscrivent à l’université dans la même mesure que leurs homologues de l’académie. Toutefois, quand ils poursuivent en licence, moins d’un cinquième rejoint les rangs de l’Université Gustave Eiffel. L’attrait de Paris reste modéré : les bacheliers seine-et-marnais privilégient majoritairement les universités de l’académie. Les pistes d’explication sont à rechercher, entre autres, du côté de l’offre de formation (près de la moitié poursuivent dans une licence que ne propose pas l’Université Gustave Eiffel) et des capacités d’accueil.
Parcoursup 2020 : candidatures et inscriptions en licence
Parcoursup 2020 : candidatures en DUT
Candidatures en première année de master
Les résultats issus de l'exploitation de Parcoursup et Ecandidat ont été déclinés par composante.
2020
Parcoursup : comment sont alimentées les licences ?
L’affectation en licence à l’université Gustave Eiffel est gérée via la plateforme Parcoursup. Les entrants en licence sont majoritairement issus de la phase principale d’affectation et plus de la moitié faisait partie de la première moitié des classements. Dans les disciplines où le nombre de candidatures est conséquent, les inscrits étaient les mieux classés. A l’inverse, dans les disciplines recevant moins de candidatures, pour recruter, il est nécessaire de descendre dans les listes de candidatures. Toutefois, le lien entre réussite et rang de classement mériterait d’être évalué.
Les résultats de la dernière enquête portant sur l'insertion des diplômés de master et des diplômés de licence professionnelle sont disponibles, présentés dans un nouveau format, plus visuel, pour mieux les valoriser.
Premiers éléments d'évaluation des parcours "oui, si" :
L’Université Gustave Eiffel propose, depuis deux ans, un parcours d’accompagnement vers la réussite pour deux de ces licences, parcours dit «oui, si». Environ soixante-dix étudiants ont intégré ces parcours. Ces étudiants présentent un passé scolaire moins favorable à la réussite. Quant à l’efficacité de ce type de dispositif, il est prématuré de tirer des conclusions. Les premiers éléments disponibles, guère encourageants, mériteraient d’être consolidés.
Nouer des relations à l’université diminue le risque de décrochage à l’issue de la L1 :
Plus les étudiants tissent des liens amicaux avec leurs camarades de promotion, moins ils sont enclins à quitter l’université. Toutefois, la sociabilité étudiante dans le cadre des travaux universitaires n’a pas d’impact direct sur la réussite. Les résultats de cette étude s’inscrivent dans la lignée des travaux cherchant à comprendre les départs précoces de l’université et enrichissent les facteurs explicatifs.
2019
Hausses des passages en deuxième année de licence
La moitié des entrants en licence passent en deuxième année. D’ailleurs le nombre d’étudiants inscrits en deuxième année augmente sous l’effet de la croissance des effectifs entrants en licence et de la progression du taux de passage en deuxième année. Les nombreux départs de licence, qui ne sont pas forcément synonymes d’échec, dépendent certes de la réussite mais également des possibilités de réorientations en dehors de l’université. En DUT, la forte réussite n’empêche pas les sorties de formation, plus nombreuses que les redoublements, comme en licence.
Huit étudiants sur dix résident dans l'académie de Créteil
Près de80 % des étudiants de l'UPEM habitent dans l'académie de Créteil, et la moitié en Seine-et-Marne. En effet, la plupart des étudiants résident dans le département où ils ont obtenu leur bac. Quand ils déménagent, les étudiants se rapprochent de l'UPEM sans forcément privilégier la Seine-et-Marne.Ceux s'installant dans le département préfèrent la proximité du RER, gage d'un gain de temps de trajet.
Conditions de vie satisfaisantes à l'UPEM
Globalement, les étudiants de l'UPEM s'estiment satisfaits de leurs conditions de vie et d'études. Ils pointent néanmoins quelques points d'amélioration, notamment sur leurs conditions de restauration, en particulier pour les étudiants éloignés de la Cité Descartes.De surcroît, les étudiants dont les cours se déroulent sur les sites distants ont moins souvent envie de participer à la vie associative, culturelle et sportive. Il en va de même des étudiants en apprentissage, sans doute en raison d'un emploi du temps contraint. Enfin, l'impliction dans l'animation du campus dépend des temps de trajet, qui peuvent être relativement longs.
Master 2016 : le taux de chômage continue de baisser
Trente mois après l’obtention de leur master en 2016, les diplômés connaissent un taux de chômage faible, confirmant la tendance à la baisse observée depuis plusieurs années. De surcroît, leurs conditions d’emploi sont identiques à celles des promotions précédentes. Les diplômés de Sciences et technologies connaissent les meilleures conditions d’insertion, notamment parce qu’ils s’insèrent en entreprise. A l’inverse, les débouchés des diplômés de Sciences humaines et sociales se situent plus fréquemment dans le secteur public ou associatif ; mais quand ils sont recrutés en entreprise, leurs conditions d’emploi sont similaires à leurs camarades de Sciences et technologie. Les apprentis pendant le master s’insèrent plus rapidement, notamment parce qu’ils ont plus souvent été recrutés dans leur entreprise de formation.
Hausse des effectifs en cycle L
Cette année encore le nombre d’étudiants inscrits à l’UPEM augmente, comme au niveau national. Cette hausse est essentiellement imputable aux effectifs inscrits en cycle L, en notamment en première année, renforçant un cycle déjà prédominant. En effet, près de la moitié des étudiants préparent une licence et un septième une licence professionnelle. De plus, un cinquième des étudiants suivent leur formation en contrat d’apprentissage ; cette modalité est accessible de la licence au diplôme d’ingénieur. Enfin, l’UPEM accueille 13 % d’étudiants internationaux, majoritairement originaires d’Afrique.
Plus de bacheliers généraux en première année de licence
Les nouveaux bacheliers entrant en licence à l’UPEM en 2018 sont encore plus nombreux que les années précédentes, en raison de la démographie dans l’académie. En effet, les bacheliers de l’académie et en particulier de Seine-et-Marne, constituent le vivier de recrutement en première année. Les bacheliers généraux, plus enclins à réussir que les bacheliers technologiques ou professionnels, sont plus nombreux. Aussi, la part des bacheliers technologiques et professionnels diminuent dans quasiment toutes les licences.
DUT, licence : combien de temps pour être diplômé ?
La moitié des entrants en licence et 80 % des entrants en DUT obtiennent leur diplôme. Si les bacheliers non généraux sont moins souvent diplômés, c’est en raison de leurs départs, plus nombreux, à l’issue de la première année de formation.
Poursuivre ses études en thèse après un master
Après l’obtention d’un master, 5 % des diplômés s’inscrivent en thèse. La poursuite d’études en thèse est minoritaire par rapport à l’inscription pour obtenir un second diplôme de niveau bac + 5. Les diplômés de master en Sciences et technologies s'inscrivent plus fréquemment en doctorat. Et si un quart des étudiants inscrits en thèse ont connu une interruption d’études après leur master, c’est plus souvent le cas des diplômés de Arts, lettres, langues ou de Sciences humaines et sociales. Enfin, les caractéristiques individuelles influencent également la poursuite d'études en thèse. Ainsi, les étudiants internationaux préparent pus souvent un doctorat que les Français.
Continuer ses études après un DUT
Après l’obtention d’un DUT en 2016 à l’UPEM, quasiment tous les diplômés poursuivent leurs études, principalement dans la continuité de leur diplôme ou, plus rarement, après une interruption d’une ou deux années. Un quart des diplômés prolongent leur parcours par une licence professionnelle mais ce type de formation est plus rare pour les diplômés de DUT du secteur secondaire. Ceux-ci privilégient majoritairement les cursus d’ingénieur. Finalement, l’insertion avec un DUT pour dernier diplôme concerne peu de diplômés.
Poursuivre en master après une licence
Après l’obtention d’une licence à l’UPEM, 80 % des diplômés poursuivent leurs études, majoritairement en master. La discipline de formation a une forte influence sur l’orientation après la licence. De surcroît, la réussite dans les études engagées, et particulièrement l’obtention d’un bac + 5 sans retard, varie selon la discipline de licence. Enfin, le passé scolaire pèse encore sur les trajectoires, tant sur les études après la licence que sur la réussite.
Faible taux de chômage pour les diplômés de licence professionnelle
Les diplômés de licence professionnelle de l’UPEM en 2016 connaissent peu le chômage trente mois après leur sortie de formation. De surcroît, avec le temps leurs situations se stabilisent et leurs rémunérations évoluent positivement. Ceux ayant suivi leur licence professionnelle en apprentissage s’insèrent plus rapidement, en particulier parce que cette expérience s’est concrétisée par une embauche. D’ailleurs, ces diplômés connaissent les meilleures conditions d’emploi. Les diplômés de Sciences et technologies ne semblent pas connaitre de difficultés d’insertion, en raison des secteurs d’activité auxquels conduit leur diplôme.
2018
Première année à l’université plus aisée pour les bacheliers généraux
A la rentrée 2016, l’Université Paris-Est Marne-la-Vallée a accueilli plus de nouveaux bacheliers, en licence comme en DUT. Si les bacheliers généraux sont plus nombreux, les effectifs de bacheliers technologiques ou professionnels sont en net recul. En licence, les bacheliers généraux accèdent plus souvent en deuxième année que les bacheliers non généraux. Aussi, le taux de passage en deuxième année progresse par rapport à l’an dernier et concerne un étudiant sur deux. Toutefois, en dehors du passé scolaire, d’autres éléments influencent le passage en deuxième année, comme l’organisation des études ou la motivation des étudiants.
5 000 diplômes délivrés à l’UPEM en 2017
A l’issue de l’année universitaire 2016-2017, plus de 5 000 diplômes ont été délivrés par l’UPEM, ce qui correspond à une hausse notable depuis 5 ans. Ceci s’explique en partie par l’augmentation de la réussite en licence et en master. En licence, la meilleure réussite est liée à l’accueil plus nombreux d’étudiants au passé scolaire plus favorable à la réussite. En master et licence professionnelle, les étudiants sous contrat - d’apprentissage ou de professionnalisation - obtiennent plus souvent leur diplôme.
Plus de 12 000 étudiants en 2017-2018
A la rentrée 2017, l’UPEM dénombre plus de 12 000 inscrits. Les effectifs sont encore en hausse par rapport à l’an dernier, en raison du plus grand nombre de nouveaux bacheliers en première année et de l’attractivité des licences professionnelles. En master, les effectifs sont stabilisés. Ils accueillent un quart d’étudiants étrangers dans leurs rangs.
Première année à l’université plus aisée pour les bacheliers généraux
A la rentrée 2016, l’Université Paris-Est Marne-la-Vallée a accueilli plus de nouveaux bacheliers, en licence comme en DUT. Si les bacheliers généraux sont plus nombreux, les effectifs de bacheliers technologiques ou professionnels sont en net recul. En licence, les bacheliers généraux accèdent plus souvent en deuxième année que les bacheliers non généraux. Aussi, le taux de passage en deuxième année progresse par rapport à l’an dernier et concerne un étudiant sur deux. Toutefois, en dehors du passé scolaire, d’autres éléments influencent le passage en deuxième année, comme l’organisation des études ou la motivation des étudiants.
Sociabilité étudiante : un atout pour s’adapter à l’université
Entrer à l’université avec des camarades de lycée facilite l’adaptation en licence. De plus, les liens que les étudiants tissent durant les premières semaines de cours les aident à s’approprier ce nouvel environnement, notamment en travaillant à plusieurs ou en participant aux évènements organisés par l’université. Et chaque discipline permet le développement d’une sociabilité étudiante, mais différemment selon la manière d’étudier des apprenants.
Premiers mois à l’université : adaptation aisée pour les primo entrants à l’UPEM
Les étudiants effectuant leurs premiers pas en licence à l’UPEM sont majoritairement satisfaits de leur formation, tant en terme de contenu que des relations avec leurs pairs ; ils se sont adaptés facilement à l’environnement et aux exigences universitaires. Néanmoins, quelques étudiants rencontrent des difficultés, notamment pour organiser leur travail. Et les bacheliers technologiques ou professionnels sont plus nombreux dans ce cas que les bacheliers généraux. De plus, les attentes diffèrent selon les disciplines, et les étudiants s’y adaptent en travaillant à plusieurs. Néanmoins, si une minorité préfère étudier en solitaire, certains regrettent de ne pas être mieux intégrés, en particulier dans les formations où le travail en groupe semble être la norme.
Plus de 22 000 candidatures aux licences de l’UPEM
Les licences de l’UPEM ont reçu plus de 22 00 candidatures via la plateforme Parcoursup pour une affectation en septembre 2018. Plus des trois quarts des candidats sont lycéens, inscrits en terminale. Ils sont majoritairement scolarisés dans l’académie de Créteil, et plus particulièrement en Seine-et Marne. La plupart préparent un bac général ; les lycéens de séries technologiques ont moins souvent postulé et sont essentiellement attirés par les licences de STAPS. En définitif, les lycéens ont majoritairement sélectionné une seule licence de l’UPEM. Et s’ils en sélectionnent plusieurs, leurs vœux se concentrent sur leur discipline de prédilection.
Bonne insertion des diplômés de master 2015
Pour la troisième année consécutive, le taux de chômage des diplômés de master de l’UPEM est en baisse, pour s’établir à 6 %. De plus, leurs conditions d’emploi sont bonnes. Néanmoins, les diplômés de arts, lettres et langues connaissent quelques difficultés d’insertion, liées aux secteurs où se situent leurs débouchés ; à l’inverse, l’insertion des diplômés de sciences et technologies est portée par le besoin de main d’œuvre dans leur spécialité. L’expérience acquise pendant le master est un atout pour s’insérer, en particulier quand elle est contractualisée par l’apprentissage.
Forte poursuite d’études pour les licenciés 2015
Après l’obtention d’une licence à l’UPEM, une très forte majorité des étudiants poursuit ses études, en privilégiant un master, master plus souvent disciplinaire que préparant aux carrières dans l’enseignement. L’orientation choisie est très corrélée à la discipline de la licence. Et la réussite – mesurée par l’obtention d’un bac + 5 sans délai– est très élevée, mais varie également selon la discipline de la licence. Finalement, les étudiants se présentant sur le marché de l’emploi avec leur seule licence sont peu nombreux.
La poursuite d’études est la norme après un DUT
Après l’obtention d’un DUT, la très grande majorité des étudiants poursuivent leurs études et l’arrêt durable ne concerne que 5 % des diplômés. Plus d’un quart s’orientent en licence professionnelle et un cinquième en licence. Les diplômés de DUT secondaires s’inscrivent moins souvent dans ce type de parcours ; ils privilégient les formations d’ingénieur.
Diplômés de licence professionnelle en 2015 : une insertion rapide
Les diplômés de licence professionnelle de 2015 arrivent sur le marché de l’emploi dans un contexte particulièrement favorable. Aussi, ils accèdent à l’emploi rapidement et leur taux de chômage dix-huit mois et trente mois après leur sortie de formation est faible. Leurs conditions d’emploi sont néanmoins très liées aux secteurs d’activité dans lesquels ils travaillent. L’insertion des apprentis est meilleure que celles des diplômés de formation initiale classique, en partie parce qu’ils ont souvent été recrutés dans leur entreprise de formation.
2017
Réussite en licence : la moitié des entrants valide une licence
Parmi les entrants en licence, un peu moins de la moitié ont été diplômés ; ils sont autant à n'être restés à l'université qu'une ou deux années. Cette note montre que les départs de l'université se font à tous les niveaux du cursus et que les parcours linéaires (ou en tube) sont loin d'être la norme.
Les bacheliers Seine-et-marnais et la poursuite d'études en licence
Les diplômés d'un bac général en Seine-et Marne poursuivent leurs études en licence dans la même mesure que leurs homologues de Seine-St-Denis et du Val-de-Marne. En revanche, les bacheliers non généraux du département qui choisissent moins souvent la voie académique.
Moins d'un cinquième des Seine-et-marnais préparent leur licence à l'UPEM. S'ils font le choix d'un autre établissement, c'est notamment pour suivre une licence que ne propose pas l'UPEM.
Etudiants satisfaits de leur formation
Les étudiants de l’UPEM sont majoritairement satisfaits de leur formation, tant de son organisation, que des relations qu’ils ont avec l’équipe pédagogique. Autre motif de satisfaction : les moyens mis à leur disposition, notamment les ressources documentaires et l’accès au numérique. Les étudiants s’estiment également bien informés quant à l’organisation de leur formation, y compris les entrants en première année qui ont su s’approprier les rouages universitaires. Ils sont en revanche plus critiques sur l’accès aux informations qui ne leur sont pas utiles dans l’immédiat, sans doute parce qu’ils y sont moins attentifs.
Etudiants satisfaits de leurs conditions de vie et d'études à l'UPEM
Les étudiants de l'UPEM sont globalement très satisfaits de leurs conditions de vie et d'études. Seul point noir : la restauration, notamment pour les étudiants les plus éloignés des restaurants qui leurs sont dédiés. De plus, les étudiants dont les cours se déroulent à Meaux et au Val d'Europe s'estiment moins bien informés et utilisent moins les services de l'UPEM. Il en va de même des apprentis, mais sans doute pour des raisons d'agenda très contraint.
2014
Plus de la moitié des nouveaux bacheliers passent en deuxième année
Parmi les néobacheliers entrants à l’UPEM en 2015-2016, plus de sept sur dix suivent une licence et un peu moins de trois sur dix préparent en DUT. Un an plus tard, un peu de la moitié des entrants en licence sont passés en deuxième année ; c’est le cas de huit entrants en DUT sur dix. Le passé scolaire influence les chances de succès en première année. Or, la composition de la population accueillie – en termes de passé scolaire – varie selon les disciplines, mais n’explique pas à elle seule les écarts de réussite entre discipline.